Ils étaient cinq, de couleurs différentes, à combattre la démoniaque Rita pour sauver le monde. Mais depuis peu, un ancien adepte de Rita, maintenant repenti, les a rejoints. C’est le Power Ranger Vert, alias Tommy le nouveau de l’Université.
Le groupe de combattant n’a pas vraiment eu le choix avant d’intégrer ce nouvel élément. Ce qui créé quelques tensions entre eux. Tommy quant à lui, se la joue plutôt solo. Il est en proie à des visions de Rita, qui ne cessent de le dénigrer. Bien sûr, il ne tient personne au courant. Du coup, cela devient dangereux pendant les combats. Les Power Rangers peinent à se coordonner et Rita gagne en puissance, subtilisant même un des dinos de la bande.

Parallèlement à la sortie du long métrage sur les écrans français, les Power Rangers débarquent en comics chez Glénat. On retrouve donc l’esprit de base de la licence avec ces (grands) ados qui sauvent le monde en se transformant et en pilotant des mécha dino de couleurs différentes. Le pendant américain à Bioman en fait. L’introduction d’un nouvel élément, qui plus est ancien ennemi ébranle la cohésion du groupe et exige une nouvelle organisation plus pertinente.
Ce tome 1 se termine logiquement sur un cliff hanger. Il s’agrémente aussi d’une mini aventure mettant en scène des personnages secondaires et les rangers filles, jaune et rose.

Dans cette édition, on apprécie la densité de la galerie de couvertures. Si vous aimez ces héros, vous serez servis en matière graphique !

Tiphaine