Nanami est de plus en plus attachée à son serviteur yokai Tomoé. Toutefois, elle ne comprend pas vraiment ce qui lui arrive. Tomoé, de son côté, continue de la traiter comme une irresponsable et semble faire bien peu cas d’elle. Jusqu’au jour où Nanami sauve un serpent blanc menacé de mort. Toute fière de son action, elle rentre au temple et oublie de mentionner l’incident à Tomoé. Elle porte désormais une curieuse marque de serpent sur le poignet. Ce qu’elle ignore, c’est que cela signifie qu’elle est dorénavant promise à ce serpent yokai, la marque scellant des fiançailles officielles. Rapidement, son fiancé revient et l’enlève.





Toujours aussi sympathique ce shôjo nous emmène à la suite de son héroïne ingénue qui enchaîne les gaffes en voulant uniquement améliorer le monde. Le statut de déesse de Nanami est en contradiction avec son comportement et sa naïveté. Elle parvient néanmoins à se faire apprécier grâce à son caractère atypique.





Julietta Suzuki nous plonge dans un monde de yokai aux sentiments pas toujours louables. Les représentations graphiques qu’elle en fait sont très justes.





Le fait de conserver le côté vie de lycéenne de l’héroïne est aussi une bonne idée, soulignant encore plus la différence entre les deux mondes où évolue Nanami.