Tatsumi Oga a hérité de Beelzebub, fils du diable (sous la forme d’un poupon tout nu dont il ne doit jamais s’éloigner de plus de 15 m sous peine de mort), et de sa gouvernante Hildegarde. Il a été choisi par Bub lui-même en raison de son goût prononcé pour la bagarre et l’inexistence de remords. Avec ces étranges fréquentations, il a augmenté ses capacités de combat. Dans son lycée, plutôt mal famé, il s’attire donc les foudres des différents caïds, chefs de groupes.
Après avoir après qu’il était marqué du sceau du diable, Oda décide de se débarrasser du bébé en trouvant quelqu’un de plus méchant que lui. Hélas, les choses tournent mal et à chaque fois qu’il aborde un parent potentiel, il doit se battre avec et le vainc.
Il se résout alors à devenir pacifique et à cesser tout combat.
Malheureusement, un des boss du lycée enlève Furuichi (meilleur ami d’Oda) et Hildegarde. Oda se voit donc obligé d’intervenir.
Un peu plus tard, alors qu’il promène Bub au parc, il fait la connaissance d’une jeune femme. Celle-ci cache un secret qui pourrait bien permettre à Oda de transmettre Bub.

Ce deuxième tome continue dans la veine du premier entre les bâches perpétuelles des lycéens et l’énervement de la gouvernante du Diable qui trouve que l’humanité n’est pas assez vite réduite en miettes.
Du côté graphique, les personnages (à l’exception de Bub) et leurs mouvements sont très travaillés. Un soin particulier est apporté à Hildegarde qui doit vraiment apparaître comme quelqu’un d’irrésistible pour tout le monde (provoquant l’envie des garçons et la jalousie des filles). Elle tient hautes les couleurs des gothic lolitas.
En comparaison, Beelzebub est vraiment moche, quasi raté. Mais reconnaissons que cela renforce souvent le comique de situation, bien présent dans ce shônen.

L’aventure continue sur le même train que dans le premier volume, vous pouvez même le prendre en marche grâce au résumé du début.