Bleach 38 - Fear for fightAnnée de sortie : 2010

Auteur : KUBO Tite
Editeur : Glénat Manga



Date de parution : Août 2010

Collection Shônen

Format : 115 mm x 180 mm

208 pages

ISBN : 978-2-7234-7455-9



Ce 38ème tome de BLEACH est très certainement l’un des plus agressifs et violents de la série.

Fini le temps du respect de l’adversaire que l’on laisse le blessé au sol. Cette fois l’heure est grave. Si l’opposant n’est pas définitivement éliminé, alors la mission n’est pas terminée.

Le message est clair. Et la situation particulièrement tendue. Car la préservation des piliers est primordiale. Ils servent à protéger Karakura de l’attaque qui a été lancée par Barragan et ses Fraccion. Vous allez au début de ce 38ème volume assister au terrible affrontement entre Ozuru Kira et Avirama. Ce dernier fait le malin, mais à mépriser son adversaire, il en oublie quelques principes fondamentaux du duel.

Puis vous verrez quelles difficultés rencontre Shûhei Hisagi face à Findor. Dans ce passage, vous allez encore une fois être bluffé par le dessin de Tite Kubo (p.40). Il ne faut pas grand-chose pour qu’une image marque, mais cette perspective et le mouvement des combattants m’a scotché. Je pense que vous apprécierez également les nombreuses utilisations de Bankai par les shinigamis. Jetant toutes leurs forces dans la bataille ils vont donner le meilleur d’eux mêmes pour terrasser leurs adversaires. Mais malgré toute cette débauche d’énergie et de pouvoir, la route va être encore longue, car Barragan n’est pas près d’avoir dit son dernier mot.

L’air de rien, celui qui est le chef de l’avant-garde d’Aizen semble plus déterminé que jamais. Et il semblerait que la bataille ne fasse que commencer. Nous en saurons plus dans les prochains tomes.

Nous ne tarissons jamais d’éloges sur cette série et pour cause, chaque rebondissement est intéressant. Il n’y a aucune faille dans le scénario. Et Tite Kubo arrive encore à nous surprendre dans sa manière de dessiner. Alors que demander de plus lorsque le plaisir est sans cesse renouvelé, à part que cela dure encore et encore.

Du très grand art.

Xavier