Kujô rencontre Avril Bradley, nouvelle élève de son école, qui lui paraît plutôt bizarre. Des bruits courant sur la déesse de la mort lui font penser qu’Avril pourrait bien ne faire qu’une avec cette divinité.


Avril lui racontera aussi beaucoup de légendes et rumeurs fantastiques qui se transmettent par bouche à oreille dans leur institut.


L’inspecteur Gréville continue de parler de ses affaires policières à Kujô qui s’empresse de monter en haut de la bibliothèque et de demander son avis à Victorica.


D’après Gréville, seul Kujô croit à l’existence de Victorica en tant que petite fille. En réalité, elle serait une très rare poupée de collection. Kujô est de plus en plus perdu mais croit fermement en l’existence de Victorica.





Ce polar fantastique avec comme enquêteurs principaux une poupée gothic lolita fumant la pipe (à l’instar d’un certain détective très British), un jeune homme naïf et timoré et un inspecteur au look excentrique, nous entraîne dans des énigmes alambiquées.


Sur un fond gothique et mystérieux, on retrouve tous les codes des romans policiers avec des indices, des fausses pistes et des coupables machiavéliques.


Le dessin reste toujours bien sympathique et ce mélange de genres savoureux que l’on notait déjà dans le premier opus se retrouve ici.





Un second volume bien plus dynamique que le précédent. Les personnages étant désormais en place, on peut se concentrer sur ces enquêtes de l’étrange, pour notre plus grand plaisir.