Drakko, 1-La Treizième Horde Année de sortie : 2011

Auteur : MANGIN V./GAJIC A.
Editeur : Soleil




Collection quadrants solaires


Albums cartonné/48pages couleurs


Date de parution : 22 juin 2011


ISBN : 978-2-30201-528-9





La treizième Horde des guerriers sauriens sort victorieuse d’une campagne contre la planète Orchis, qu’elle a littéralement fait disparaître.


A sa tête, le Kraken suprême, Zarkelh qui assoit ainsi la suprématie de son armée et prouve qu’il est bien digne d’épouser la fille de l’empereur et de succéder en tant voulu à celui-ci. Drakko, un des jeunes guerriers basilik de la treizième horde profitera aussi de cette victoire. Pour lui, le retour sera festif à n’en pas douter : il va enfin recevoir sa monture, un authentique dragon et monter en grade. Il a hâte de retrouver famille, fiancée et amis et de parader devant eux lors de la grande cérémonie d’intronisation.


Hélas, une terrible prophétie a eu lieu pendant l’absence de la horde. On dit que Zarkelh tuera l’empereur et sa fille et mènera l’empire à sa perte. Décision a donc été prise de se débarrasser de tous les guerriers de la 13ème horde.





Ainsi commence l’épopée tumultueuse de ‘Drakko’, décrit par ses auteurs comme un space opéra d’héroïc fantasy. En effet, le héros sera contraint de fuir de planète en planète à travers une galaxie plus ou moins hostile où le poursuivront douze hordes déterminées. Son allié ? Un fier dragon qui change un peu la donne par rapport aux habituels vaisseaux spatiaux des space opera…





Ce premier tome est un très beau début de récit initiatique avec un monde singulier, illustré de façon très personnelle et donc originale. Sur fond de vengeance et de survie, le héros sera amené à découvrir de nouveaux mondes et donc à élargir sa vision, on le suppose pour mieux accomplir la prophétie qui lui pèse sur les épaules…





Une nouvelle série tout à fait intéressante, qui change un peu la donne tout en reprenant les codes classiques de l’heroic fantasy. Souhaitons lui de courir sur de nombreux tomes car l’aventure mérite bien plus que trois ou quatre chapitres…








Tiphaine