Trois jeunes filles arrivent en pension dans un château ayant appartenu à une obscure comtesse que l’on qualifia de « vampire ». Tandis qu’un frère et une sœur se font héberger suite à un accident de voiture. Les hôtesses de charme des lieux, ne veulent qu’une chose : réincarner la maîtresse du domaine grâce à des rituels pervers.

J’ai beaucoup de mal à chroniquer un tel film n’étant vraiment pas passionnée par les pseudos films fantastiques qui sont en réalité des films érotiques. Le seul intérêt est que Le Château des Messes Noires se trouve à l’émergence du genre.
Le scénario reste donc faible et de peu d’intérêt, prétexte à voir ses personnages féminins se tripoter les seins les unes les autres toutes les 5 minutes à peine. Le film paraît une gigantesque partouse entre lesbiennes.

Je conseille donc ce film aux seuls amateurs de films érotiques et à ceux de Jean Rollin (qui peut y avoir trouvé des sources d’inspiration). Sachant que le Château des Messes Noires est mieux produit que les longs métrages de feu monsieur Rollin.