Salle : Parc des Expositions
Ville : Tours (37)

Journée du vendredi : lien ici

American Tours Festival Samedi :


Nous avons eu les plus grandes difficultés à nous garer car personne n'est présent pour organiser les parkings. Laisser les voitures se garer n'importe où, s'engager sur des voies sans issues... Résultat il faut compter sur la patience ou la chance pour enfin pouvoir quitter son véhicule. Et lorsque nous signalons le problème à une personne qui s'occupe de la circulation, la réponse est sans appel : « cette année c'est le bordel! » Nous confirmons sans peine.

Nous avons commencé notre samedi par le Drift. Discipline automobile particulière car elle pourrait être qualifiée d'artistique: les dérapages des pilotes sont notés par plusieurs juges. Le temps ne compte pas.



Si vous aimez voir la gomme fumer sur la piste, c'est l'endroit où il faut être.





Nous en avons profité pour voir de près les monstres qui sont utilisés pour le tracteur pulling et autres réjouissances motorisées. Impressionnant tout simplement.



C’était aussi l’occasion de voir des Trucks. Ces camions font toujours forte impression. Et comme les Harley, il est possible de les personnalisés.


Ce qui nous permet de découvrir différentes peintures, habituellement cachées par la remorque de ces mastodontes.


Les amateurs de camions en tout genre pouvait même retrouver un magasine dédié.




Les amateurs de chevaux (non mécaniques) avaient droit à différents spectacles de cascade. Notamment de la voltige cosaque avec un duo habillé en indiens.



Dissimulé, poirier, passages sous l’encolure, à l’envers sur l’encolure, viretourne et le fameux à terre à cheval… les figures s’enchaînaient au grand galop et dans la poussière de la piste de rodéo.



Cela permet de voir quelques techniques de camouflages qui peuvent être utilisées par les cavaliers lors d’un combat (sachant que les indiens n’avaient pas du tout ce type de selles à leur disposition).


Un cow-boy a ensuite présenté un numéro de poste hongroise (debout sur la croupe de deux chevaux) à 2, 4 puis 6 chevaux.





Puis pour ceux qui aiment les sensations fortes, ce fut le temps du rodéo. Avec son lots de ruades, bousculades et blessures du coté des cow-boys.






Pendant ce temps là, les danseurs continuaient de s'amuser sur le parquet r n r




Sous Les Halls, vous retrouviez de nombreuses boutiques de produits dédiés à la moto et ses différents accessoires. Ainsi que beaucoup d’artistes qui offrent la possibilité de customiser tout ce qui peut vous faire plaisir : vos cheveux, vos vêtements, vos meubles, vos tableaux…



Ce qui nous a interpellé c'est le stand de la marque 2 saints, qui travaille un argent spécial. Ce qui donne un résultat très esthétique. Avec la technologie des imprimantes 3D, toutes les complications semblent possibles. Jugez vous même avec ces crânes ajourés.





Les Harley et casques décorés trônent comme d'habitude en bonne place. Cette année, le thème des 10ans a été retenu pour les casques.







Les joueurs de poker étaient toujours fidèles au rendez-vous, avec une concentration maximale.




Le temps d'attraper de quoi manger, il était déjà l'heure d'aller voir les légendaires Steppenwolf. Le groupe est connu du grand public grâce au titre Born To Be Wild.




Le groupe offre un bon moment de rock et de blues. Que ce soit sur leurs titres originaux ou des reprises comme Ootchie Cootchie Man.
Une bonne ambiance dans la salle du Grand Hall ce soir encore.
Avec une utilisation intéressante des écrans de chaque côté de la scène : la diffusion du film d’un concert enregistré en noir et blanc il y a plusieurs années. Décalage temporel entre les musiciens sur scènes et ceux à l’écran, mais autant d’intensité et de plaisir.



Les notes ont résonné à l'unisson avec les moteurs de la communauté bikers, que le groupe n'a pas manqué de saluer.



Et c'est après 1h10 de concert que le titre tant attendu du public est arrivé ! Born To Be Wild \m/




De retour dans le Hall rock, ses boutiques vintages et sa gomina, nous profitons de l’ambiance comme des derniers shows de la soirée.




Burlesque :




Les jeunes danseuses aussi souples qu’inventives se sont dénudées au rythme des titres comme I Wanna Do Bad Things With You (générique de la série True Blood) en jouant de leurs accessoires emplumés ou enflammés.




Et pour finir la soirée en dansant dans ce hall rock, Deke Dickerson est monté sur scène. Nous assistons à du rock classique, qui vous donne l'impression d'avoir remonté le temps. Tout y est : la tenue, les instruments et la musique bien sûr.



Un touché de guitare très fin et propre, avec cette voix juste ce qu'il faut de nasillarde. Une ambiance vintage, pour ne pas dire franchement rétro, qu'il est agréable de vivre comme à L'époque de nos (grand)-parents. Dont certains sont là dans la salle pour danser et se déhancher comme au bon vieux temps!



Journée de dimanche : lien ici