Un début de festival en douceur avec le groupe Alelya. Vous connaissez déjà le groupe sous un autre nom (Hashimy), vous avez croisé certains de ses membres qui sont actifs pour la scène locale en tant que bénévole, musicien, etc. Vous les avez peut-être déjà soutenus, avec votre vote lors des séléections, car Alelya est le vainqueur du tremplin pour l’édition 2020 du Sid Fest.
C’est un son proche de ce qui pourrait s’apparenter à du rock-metal avec un chant féminin en français. Les backing vocals sont assurées par le batteur. Leur son est assez planant, avec des riffs appuyés et des paroles parfois lourdes de sens où des thèmes graves et sérieux sont abordés.
L’ambiance avant tout pour Alelya. Avec un certain contraste que l’on retrouve sur chaque morceau : des riffs lourds et bruts. Les 2 guitares 7 cordes et la basse 5 cordes, ça aide bien sur ce sujet. Un chant qui monte et emmène, puis des soli qui explosent par ci par là, avec une base rythmique très pesante. Et une basse qui slape sur certains passages pour donner encore plus de dynamisme, c’est un bonus indéniable.
Bien agréable à écouter pour cette fin d’après midi et ce début de soirée.
Le groupe a malheureusement connu quelques difficultés techniques… dommage. Ce qui l’a obligé à écourter son set et a cassé l’ambiance. Sinon leur prestation aurait été impeccable.
Cela faisait plusieurs années que je n’avais pas vu le groupe en concert en salle. Il est possible de dire que rien n’a changé pour Eidon. Leur métal symphonique est toujours aussi entraînant. Et cette voix lyrique qui est la marque de fabrique du groupe est si caractéristique.
Les compositions des différents albums du groupe qui ont été proposées ce soir sont une invitation au voyage pour les aventures qui sont offertes aux spectateurs.
Ce côté épique de la musique d’Eidon, allié à leur versant symphonique, sont les atouts du groupe.
Un peu plus de mouvement sur scène et ce serait la cerise sur le gâteau.
Un vrai plaisir de les entendre sur la scène de l’espace Gentiana une nouvelle fois.
Leur death metal technique a fait des ravages ce soir.
Un son ultra solide et entraînant. Pogo assuré, mais de façon légère dans le public, car c’est aussi la partie technique du groupe qui intéresse le public qui s’est bien rapproché de la scène.
Dysmorphic assure et propose leur son qu’il est facile de qualifier de bien violent.
Ça va à 100 à l’heure. Avec des breaks très bien calibrés pour vous prendre à revers et vous en mettre plein les oreilles.
Ça tape dans tous les sens. Sans jamais tomber dans la facilité. Une telle débauche de savoir faire, pour paraître aussi à l’aise, c’est la preuve qu’il y a un sacré travail de fourni en amont.
Bravo à tous pour ce concert qui déborde d’énergie.
Le groupe était survolté et il y a de quoi : c’est leur release party ce soir. Quoi de mieux que de jouer à la maison avec 3 autres groupes locaux et 2 belles têtes d’affiche que sont Betraying the martyrs et Kadinja.
Sur scène ça bouge dans tous les sens. Le sourire aux lèvres du début à la fin. Le public est là pour s’amuser aussi.
Je ne connais rien de l’album (à part les 3 titres entendus en avant première lors de leur concert à La Parenthèse de Ballan Miré le 12.10.2019) et le sentiment qui est le mien à cet instant c’est l’harmonie. Le son de White Sofa est une alliance de puissance et d’entraînement, avec des riffs bien sentis. Le jeu avec les 2 voix est poussé au maximum. La section rythmique est d’une solidité indéfectible et ça groove en même temps. La guitare est bien incisive avec tout ça.
Ça blaste bien fort, sans oublier d’être dansant.
On ne pouvait espérer mieux.
Avec la participation exceptionnelle de la fille du batteur sur l’organisation d’un wall of death ;)
Le groupe était attendu c’est le moins que l’on puisse dire. La grosse claque !
Un son d’une puissance rare. Et dans la salle surchauffée de Gentiana, quand vous êtes au pied des musiciens c’est encore plus mémorable.
Cette envie de partager entre le groupe et le public est incroyable.
Quelle motivation de part et d’autre. Leur dernier album vient de sortir avec déjà un clip sur le titre Down, qui a été interprété et accompagné par la voix forte des spectateurs, comme il se doit.
Le chanteur parle désormais très bien français. C’est la meilleure des façons pour balancer quelques mots qui galvanisent.
Ça a beaucoup tangué dans le pit. A l’image de Victor Guillet (clavier-chant) qui n’a pas hésité à se jeter dans le public.
Ici pas de faux semblant. Il faut vivre le moment à fond.
Quelle belle leçon de métal.
Pas d’interview du groupe, car nous n’avons pas eu de réponse à notre proposition envoyée quelques jours avant le concert
Le groupe m’avait annoncé dans leur interview comment le set était construit. La réalisation a été au-delà de mes attentes.
Kadinja en live a une touche de groove et de mélodie qui ne se retrouve pas aussi marquée sur album. Cela rend les parties techniques plus « digestes ». L’intensité de leur musique prend une nouvelle dimension. D’autant que ça bouge sur scène et pas qu’un peu, notamment du côté de Pierre Danel (guitare). C’est assez incroyable de voir le groupe envoyer aussi vite et aussi fort. Cette voix de Philippe Charny Dewandre, puissante en chant saturé ou clair, avec des transitions abruptes. C’est impressionnant.
Morgan Berthet prend même le temps de s’amuser à quelques tricks en jouant, l’air de rien derrière ses fûts!
Cerise sur le gâteau en terme d’échange : les 2 guitaristes et le bassiste ont joué l’avant dernier titre au milieu du public. Pour être au plus proche de l’énergie.
Nous avons assisté à la prestation de musiciens d’exception. Je comprends tout à fait que des spectateurs soient venus d’Angleterre pour les voir ce soir !
C’est incroyable de produire un set de cette qualité. Avec de l’humour en prime et une reprise de Korn en début de concert.
Kadinja a fêté de la meilleure des façons l’entrée dans cette nouvelle année.
Cette date était marquée par l’audace et la nouveauté. Il fallait prendre un gros risque pour l’association Rock Style, résultats au-delà des espérances. Avec de très nombreux spectateurs qui ne sont pas des habitués de la salle. C’est la preuve qu’il est possible d’attirer un public plus large et plus distant que celui de la métropole de Tours.
Merci à Rock Style d’avoir tenté le coup pour cette date. Merci au public très nombreux d’être venu réchauffer l’espace Gentiana. Et merci aux groupes qui nous ont proposé un 1er concert métal de l’année 2020 de très belle facture.
