Les équipes sont amoindries. Le doute commence à entrer dans certains esprits et d’autres semblent s’échauffer. Il faut dire que l’unité Shadow a été attaquée de toutes parts et la voilà séparée, avec une équipe dans la zone de l’ombre de Cassandre face à une nef abandonnée (Ag, Benson, Clarence, Daphné…) et l’autre aux abords de la base secrète Shadow (Gordy, Atori, Milla, Petra).
Vous vous en doutez, de nouvelles surprises les attendent sur place avec toujours, la même question : amie ou ennemie ? Une fois encore, la menace va les obliger à réagir sans réfléchir, car Gordy et Atori vont subir une attaque éclair. Leur nouvelle « prisonnière », leur annonce que le résultat de leurs recherches scientifiques pourrait changer l’avenir d’humanité. Rien que ça ! Faut-il suivre ses conseils ? La planète que devait servir de point de rendez vous se montre une fois de plus être un piège mortel. C’est l’occasion pour Vincenzo Cucca de nous faire découvrir une flore et une faune aussi colorée que létale.

De leur côté, l’exploration de la Nef par Ag, Benson, Clarence… va les mettre face à une terrible réalité. Là encore, des invités inattendus vont venir jouer les trouble fêtes. Mais à bien y regarder, il s’agit peut-être une bonne chose. A moins que les apparences soient trompeuses, comme dans tout complot bien organisé dont vous êtes la victime involontaire.
Vous l’avez compris, ce 6ème tome de Colonisation combine tout ce qui fait la qualité de la série : une nouvelle planète luxuriante, des informations capitales, un ou même plusieurs complots mis à jours, de nouveaux intervenants et malheureusement quelques pertes. Avec une action omniprésente, le rythme imposé aux deux équipes est intense. Le danger est partout, ce qui donne atmosphère pesante. Il n’est possible de se fier à personne, car les intrigues se font à tous les niveaux.

Un bel équilibre entre complot, exploration et combat.
Avec tout ce que vous allez apprendre dans ce 6ème tome de « Colonisation », vous aurez très certainement envie de relire les 5 premiers pour reprendre toutes les pièces du puzzle qui s’emboîtent à la perfection.

Xavier