Artwork Smoke Signal Studio.

LINE-UP
Nicolas Sauvey - chant, basse
Jérémy Saigne - guitare, chant
Jean-Baptiste Mallet - batterie, chant


TRACKLIST KODA
1. She Said
2. Koda
3. The Wanderer
4. Om Namah Shivaya
5. Syndrome of Laborious Optimism
6. Wild Fire
7. Love Myself
8. Thousand Pieces
9. It's Not Only Rock'n'Roll
10. Julietta
11. Homeland

Le 26 avril 2024, marque l'arrivée tant attendue du nouvel opus du trio de heavy rock bordelais DÄTCHA MANDALA, intitulé "Koda". Ce troisième album, promet une expérience sonore aussi riche qu'inoubliable. Annonçons-le tout de suite, c’est un chef d’œuvre !

DÄTCHA MANDALAa puisé dans l'effervescence de la scène brit pop pour forger "Koda". Avec une production à la fois puissante et enivrante, l'album regorge de tubes rock imprégnés d'influences métal sous-jacentes.
Pour ceux qui aiment les références, vous pourriez penser à l'audace destructrice de Ghost, qui est ici subtilement combinée à des sonorités rappelant les grands noms du rock tels que Royal Blood ou BRMC. Cependant, ce n'est pas tout : quelques refrains prêts pour les stades, des riffs bluesy captivants, une ballade méditative et un plaisir de jouer contagieux, qui font de cet album une véritable addiction auditive.

DÄTCHA MANDALA s'affirme ainsi comme un groupe audacieux et inclassable, fusionnant avec brio le blues rock, le heavy et la brit pop (Love Myself). Leur chant, évoquant parfois les légendes des 70’s, est porté par des riffs qui reflètent autant l'effervescence de cette époque que la vitalité des scènes rock et métal contemporaines.

Depuis leurs débuts en 2016 sous le label Mrs Red Sound, avec leur EP "Anâhata", DÄTCHA MANDALA a parcouru un chemin musical impressionnant. Leur premier album "Rokh", enregistré entièrement en analogique, et leur deuxième opus "Hara", témoignent de la richesse de leurs influences, de leurs préoccupations sociales et environnementales.

Avec "Koda" que le groupe atteint un nouveau sommet. Enregistré et mixé par Charles de Schutter (No One Is Innocent, Ghinzu, AQME) aux studios ICP et Rec’N’Roll à Bruxelles, et masterisé par Jett Galindo (Neil Young, Pink Floyd, Nile Rodgers, Paul McCartney) au Bakery Studio à Los Angeles, cet album représente l'aboutissement d'une quête sonore longtemps poursuivie par le groupe.
Chaque titre réserve son lot de surprises et de moments mémorables. Sur le morceau "Syndrome of Laborious Optimism", un solo de batterie captivant, rappelle l'énergie brute et la virtuosité que le groupe déploie sur scène. Ce solo, à la fois classique dans sa conception et novateur dans son exécution, fait écho aux grands moments du rock des décennies passées, tout en insufflant une vitalité très fraiche. Avec une fusion magistrale de rythmes percutants et de nuances subtiles, ce passage met en lumière l'habileté de Jean-Baptiste Mallet derrière les fûts et ajoute une dimension supplémentaire à l'expérience auditive immersive qu'offre "Koda".

Les grosses guitares, le son de la basse ronde et solide, vous accrochent dès She Said. Vous êtes immédiatement plongés dans la thématique de l’album avec cette discussion en compagnie de Gaïa.
Dans "Koda", un titre se démarque par sa vivacité et sa profondeur spirituelle : "Om Namah Shivaya". Ce morceau, aussi envoûtant que rebondissant, attire l'auditeur dans un tourbillon sonore où les rythmes envoûtants rencontrent des mélodies enivrantes. Mais au-delà de son aspect musical captivant, "Om Namah Shivaya" véhicule un message profondément spirituel. En effet, le titre est une invocation dévotionnelle en sanskrit adressée au Seigneur Shiva, l'une des divinités majeures de l'hindouisme. "Om" est un mantra sacré, considéré comme le son primordial du cosmos, tandis que "Namah Shivaya" est une salutation à Shiva, signifiant littéralement "Je m'incline devant Shiva". Ainsi, DÄTCHA MANDALA transcende les frontières de la musique pour offrir une expérience à la fois sensorielle et spirituelle à travers "Om Namah Shivaya", témoignant de leur capacité à fusionner l'art et la transcendance dans leur œuvre.

La délicatesse n’est pas de mise pour l’intro de Thousand Pieces, très brut, rock, avec des guitares acérées, un chant rageur.
Et ce chant, qui se détache d’autant plus, sur Julietta, qui monte si haut, sans jamais rompre. Du grand art, avec cette orchestration acoustique qui vous fait planer.

Et ce dernier titre qu’est Homeland clos l’album avec une touche grandiose. Un son massif, qui vous enveloppe, vous porte. Et vous dépose en douceur avec un délicat fadeout. Un titre heavy rock parfait.

Avec "Koda", DÄTCHA MANDALA affirme son statut de pilier de la scène heavy rock, et chaque note de cet album est imprégnée de leur fierté d'avoir enfin capturé le son qu'ils recherchaient depuis toujours en studio. Pour en savoir d’avantage, nous vous invitons à écouter leur interview :


Xavier

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Notre interview du groupe : lien ici